AGROPELTER – The Book Of Hours
Norvège, 2025, digipack (44:54)
La scène progressive norvégienne a beau être en plein essor et particulièrement mise en lumière, elle arrive néanmoins encore à nous surprendre. Ce nouveau projet, mené par Kay Olsen, est un des principaux sujets de conversation auprès des acteurs de notre courant ayant eu la chance d’écouter The Book Of Hours. La musique s’inspire des grands classiques du genre tels que Genesis, Camel, King Crimson et Eloy, ainsi que de la musique classique de Rachmaninov, Beethoven et Bach, et aussi des pionniers de l’électronique tels que Vangelis et Terje Rypdal, sans oublier une touche scandinave évoquant le Änglagård le plus mélodique. Ce premier album présente un paysage sonore luxuriant, avec des Mellotron, des orgues Hammond, des synthétiseurs ARP, des clavecins, des Minimoogs et des pédales de basse Taurus. Kay Olsen, lui-même, a joué toutes les guitares, la basse, l’orgue d’église et bien sûr l’ensemble des claviers. Parmi les invités, citons Jonas Reingold (Steve Hackett, The Flower Kings, Kaipa, Karmakanic) à la basse fretless, Mattias Olsson (Änglagård, White Willow, Molesome) aux percussions, aux overdubs de synthé vintage et aux couches sonores atmosphériques, Andreas Sjøen (Umpfel, VÅDE, Sean Ashe) à la batterie ainsi que de nombreux musiciens classiques aux cordes et aux instruments à vent. The Book Of Hours a été mixé et masterisé par Jacob Holm-Lupo, que l’on ne présente plus et auquel on laissera le mot de la fin : « L’un des albums les plus passionnants sur lesquels j’ai jamais travaillés. Je ne saurais trop le recommander ! »
1. Flute Of Peril (2:24)
2. Levitator (5:49)
3. Burial Mound (3:23)
4. The Book Of Hours – Part I (11:08)
5. The Book Of Hours – Part II (6:21)
6. The Book Of Hours – Part III (11:48)
7. The Book Of Hours – Part IV (9:03)