WHITE WILLOW – Signal To Noise
Norvège, 2006-2025, (51:44)
Sorti en 2006, Signal To Noise marquait la volonté de White Willow de se démarquer des sonorités progressives des années 70. Souhaitant donc une approche un peu plus actuelle, le groupe avait alors choisi de travailler avec un producteur extérieur, comme nous le raconte Jacob Holm-Lupo qui a méticuleusement remastérisé l’album afin de lui donner une seconde vie : « Nous étions de grands fans du travail que Tommy Hansen avait fait avec différents groupes, et nous savions qu’il avait un très beau studio. Nous sommes donc partis au Danemark et avons passé quelques semaines merveilleuses chez lui à Horsens. L’une de nos influences pour cet album était le groupe City Boy, par trop méconnu des fans de prog; nous voulions un amalgame similaire de prolixité et d’accroche mélodique. Nous avions également une chanteuse, Trude Eidtang, qui était très à l’aise avec les harmonies vocales, ce qui a apporté un nouvel aspect au son du groupe. »
Une nouvelle probante réédition (la cinquième d’une série de six) réalisée par le label Karisma Recors, particulièrement à la fête actuellement avec la publication des nouveaux albums de Bjørn, Riis, Magic Pie et autres Lars Fredrik Frøislie…
1. Night Surf (4:13)
2. Dusk City (6:07)
3. Joyride (4:20)
4. Chrome Dawn (7:14)
5. The Dark Road (4:19)
6. Splinters (8:37)
7. The Lingering (9:27)
8. Ghosts (5:50)
9. Ararat (1:37)
