MAJOR PARKINSON – Valesa. Chapter I : Velvet Prison
Norvège, 2022, digipack (60:16)
Après un Blackbox (2017) particulièrement sombre, Major Parkinson revient avec un album bien plus lumineux, pour nous faire visiter les années 80 à travers une pop progressive soignée et gorgée d’arrangements en tout genre. La voix caverneuse de Jon Ivar Kollbotn (un peu de Tom Waits et de Leonard Cohen chez lui par moment) est un élément important de la séduction qui opère à l’écoute de Valesa. Le charisme vocal du bonhomme est tel qu’il emporte les auditeurs dans son univers cinématique, où dominent les claviers inventifs de Lars Christian Bjørknes. Notons que cette voix envoutante est secondée de temps à autres par celle, aérienne et délicieuse, de Claudia Cox, ce qui crée un savoureux pudding vocal… Au final, Valesa est une oeuvre explosive d’inventivité qui, par sa richesse et son accessibilité, invente une sorte de synth-wave progressive de grande qualité… A découvrir assurément !
1. Goodbye Blue Monday (1:12)
2. Behind The Next Door (4:32)
3. Saturday Night (4:07)
4. Ride In The Whirlwind (1:42)
5. Live Forever (7:16)
6. Sadlands (1:15)
7. Intermezzo (2:16)
8. Jonah (6:35)
9. Velvet Moon (2:01)
10. Irina Margareta (5:08)
11. The House (3:27)
12. The Room (4:43)
13. Posh-Apocalypse (2:07)
14. MOMA (2:16)
15. Lemon Symphony (1:59)
16. Fantasia Me Now! (6:57)
17. Heroes (2:43)