NICK MAGNUS – A Strange Inheritance
Royaume-Uni, 2024, digipack (50:42)
Cinq ans après l’excellent Catharsis, consacré à l’Ardèche, l’ancien claviériste de Steve Hackett dans ses grandes années (fin des années 70 et début des 80) nous livre un nouvel album concept, tout entier consacré à la mer comme terrain d’exploration et d’aventures. En homme-orchestre, Nick Magnus se charge de toute l’instrumentation, s’entourant d’invités essentiellement pour les parties vocales; seules exceptions, John Greenwood aux guitares et Steve Hackett qui joue ici… de l’harmonica. On retrouve le souffle symphonique et mélodique dont l’artiste est devenu un expert, et qui évoque en partie les dernières réalisations de Steve Hackett, son ancien complice. Si l’essentiel des morceaux sont des chansons finement arrangées, “Four Winds”, avec ses huit minutes, s’impose comme un instrumental épique. Du grand art, comme c’est toujours le cas avec Nick Magnus !
1. An Almost Silent Witness (10:07)
2. Blood Money (4:45)
3. Philadelphia (5:16)
4. At Sea At Night (5:54)
5. Four Winds (8:14)
6. Welcome To The Island (5:19)
7. Black And Scarlet (5:22)
8. To Whom It May Concern (5:36)